HISTOIRES EROTIQUES

je suis une femme,je me suis fait séduire par la fille de ma copine

 

Je suis une femme, et je vivais en couple avec Marie ma compagne.
Nous nous entendions plutôt bien et nous sommes restés ensemble un peu plus d'un an, jusqu'à ce que ça fille nous rejoindre à plein temps.
j'ai compris très vite que cette petite allait finir par mettre du désordre entre nous.

Son père ne voulait plus d'elle depuis sa majorité et nous avons dû l'héberger le temps qu’elle trouve un travail. Ana, se comportait toujours bien en présence de sa mère, elle se dévergondait seulement quand je me trouvais seule avec elle.

Martine, mon amie, était infirmière et n’avait pas des horaires toujours faciles pour une vie de couple. Quand Martine travaillait Anna adorait se pavaner devant moi en petite culotte. J’ai toujours repoussé ses avances mais elle venait pourtant me retrouver sur le canapé, s'intaller sur moi, pour que je lui raconte ce que je faisais à sa mère.

Bien sûr parfois j'ai eu envie d'elle. Un soir alors que Martine dormait, elle est venue me rejoindre pendant que je regardais la télé. Elle avait juste un peignoir et elle s'est allongée près de moi.

Sa main a glissé entre mes cuisses, je l'ai repoussée, mais elle m'a demandé d'être discrète car ça mère pouvait nous entendre. C'était confus pour moi, j'avais envie elle mais je savais qu'il ne fallait surtout pas que je commette cette erreur.

Elle a pris un de mes seins dans sa bouche et je n'arrivais plus a bouger, c'était bon, un plaisir défendue. Le fait de savoir qu'une simple porte me séparait de sa mère faisait monter mon désir.

Je me suis levée et j'ai regagné la chambre. J’étais tellement excitée que j'ai dû caresser Martine pour qu’elle se réveille.

Le lendemain matin, après le départ de Martine, j'ai dit à Ana que je ne voulais plus de ce genre de manifestation.

cela ne l'a pas empêchée de se trémousser devant moi toute la journée.
Il s’est passé quelques jours sans problème, jusqu'à ce matin-là.

Martine était partie à quatre heures du matin et Anna est venu me rejoindre dans le lit sans que je sache que c'était elle. je dormais sur le dos et je ressentais des caresses agréables qui me sortaient doucement de mon sommeil. Quand j'ai senti une langue sur mon sexe, j'ai cru que Martine était encore là. C'était tellement bon, que j'écartais les jambes sans même vouloir me retourner. Ce que j'aimais le plus en elle c'est sa perversion extrême, j'ai rarement connu de fille aussi perverse.

J'ai très vite compris, quand j'ai joui plus fort que d'habitude, que ça ne pouvait pas être Martine. J'ai fait comme si je ne savais pas, j'ai encore écarté les jambes, et je me suis laissé faire. Quand je me suis retournée et que j'ai vu sa frimousse de chien battu, je n'ai rien pu dire ... nous avons fait l'amour.

Ce que j'aimais le plus en elle, c'est définitivement sa perversion. Rapidement je n'ai plus pu me passer d'elle et nous avons faisions quotidiennement l'amour. Même quand Martine dormait, je venais la rejoindre sur le canapé. Jusqu’au jour où nous nous sommes fait surprendre par Martine, qui est revenue chercher son agenda.

Elle m'a mise à la porte, ainsi que sa fille, et j'ai dû prendre une chambre d'hôtel le temps de trouver un appartement. L'histoire est un peu plus longue, car Anna ne se contente pas que des femmes et qu'elle aime aussi les pères de ces copines. Parfois elle me fait honte, mais je suis accro de ces aventures. Certaines sont d'une perversion incroyable, je vous les raconterais peut-être ...


Elise

 

Le train du Plaisir

 

Ce scénario écrit à deux est une initiative d’un lecteur comme vous. Chaque changement de personnage correspond à un échange par mail et chaque réponse est une occasion d’entraîner l’autre dans son univers, d’exprimer avec ses mots son regard sur la scène.

J’ai ensuite retravaillé le résultat pour redistribuer les rôles, rendre la lecture plus fluide, et l’érotisme plus torride. Bonne lecture …

LUI :

Ce Paris-Bordeaux n'a plus de secret pour moi. Comme d’habitude j’ai évité les heures de pointe et ce soir j’ai la chance de trouver un compartiment vide. Je m'installe près de la fenêtre, dans le sens de la marche, et commence à faire ce que j'aime le plus en ces occasions : écrire.

Au moment où je commence à me détendre j’entends la porte coulisser. Je jette un regard noir vers la personne qui vient me déranger, mais très vite je me ravise et m’adoucit. Elle entre …

ELLE :

Ce voyage m’ennuie. J’angoisse à l’idée d’un trajet dans un compartiment à l'ambiance étouffante, avec des discussions stériles et navrantes, des gamins bruyants, des hommes d'affaires moroses qui pianotent sur leurs portables.

J’attends que tout le monde s’installe et je parcours ensuite les wagons à la recherche d’un havre de paix. Pas simple, mais je trouve un compartiment de huit places qui n’est occupé que par une seule personne, un homme plutôt mignon et non dénué de charme.

Le bruit de la porte coulissante attire son attention et j’aime la manière dont il pose ses yeux sur moi. Son regard me transperce et j’ai envie de lui plaire. J’entre en prenant soin de me mettre en valeur et m’installe près de la fenêtre, face à lui.

LUI :

Elle est élégante et très féminine. Je devine la lisière de ses bas, tenus par de voluptueuses jarretelles, et mon regard plonge dans son magnifique décolleté. Cette femme me plait et je prends plaisirs à laisser vagabonder mes yeux sur son corps.

La nuit tombe doucement et elle regarde le paysage défiler tandis je me laisse envahir par le désir qu’il s’installe peu à peu et que mon imagination fait le reste. Je me vois oser lui donner le texte érotique que je viens d’écrire pour elle. A sa lecture, ses lèvres esquissent tour à tour surprise et satisfaction, puis elle pose la feuille et me lance un magnifique sourire entendu.

Elle se lève, verrouille notre compartiment pendant que mon cœur s’emballe, et d’une démarche envoûtante s’approche pour s'arrêter devant moi, jambes légèrement écartées. Mes mains se posent sur ses cuisses, remontent sous sa jupe, et elle ne bouge pas. J’ouvre la bouche pour dire quelque chose mais immédiatement elle pose un doigt sur mes lèvres, m'intime le silence. Les mots ont été écrits …

ELLE :

Inconsciemment je suis entrée dans le registre de la séduction. Je ne parle pas de drague ouverte mais d'un simple changement de comportement. J'ai pris soin de garder le buste bien droit pour m'asseoir, de croiser les jambes suffisamment haut pour légèrement faire tomber un pan de ma jupe portefeuille.

J'ai envie de le regarder sans en avoir le courage et pour ne pas me trahir je donne l'impression d'être absorbée par le paysage qui défile, l’observe dans le reflet. Quel délice lorsque je le surprends en train de glisser son regard sur mes jambes, sur mes seins. La perception de son désir me donne immédiatement envie d’aller plus loin. « Pourquoi me fait-il autant d'effet ? ».

Progressivement je m’arrange pour en dévoiler un peu plus, très naturellement et sans donner l’air d’y prêter attention. J’aime la connexion sensuelle qui s’installe progressivement entre nous. Je me lève pour attirer son attention et le vois immédiatement réagir pour me suivre du regard. Je n’en demandais pas tant. Je me cambre pour lui offrir une vue imprenable sur mes seins, puis me retourne pour déposer ma valise.

J’imagine son regard sur mes fesses et je prends mon temps, me cambre discrètement un peu plus, me lève sur la pointe des pieds pour hisser mon bagage sur la grille du dessus. Les mains bien relevées au dessus de ma tête, je sens mon inconnu qui se colle derrière moi, pour m’aider. Ses mains rejoignent les miennes sur la valise et tout s’accélère. Je peux nettement sentir la bosse de son sexe contre mes fesses et le moins qu’on puisse dire c’est que je lui fais de l’effet.

Je n’ose plus bouger. Je me fige et j’attends de voir ce qu’il va faire, s’il va oser aller plus loin.

La valise est bien calée et il redescend ses mains doucement en les faisant glisser le long de mes bras. J’ai la respiration coupée et je reste immobile, les bras levés. Je donne l’illusion de vouloir mieux caler la valise mais personne n’est dupe. Sans perdre le contact Il glisse sous mes bras et descend jusqu’à mes hanches : Il sait déjà qu’il a gagné.

LUI :

Comment ai-je trouvé le courage de l’aborder ainsi ? Je sens chez cette femme un magnétisme sexuel qui est en train de me rendre fou. Elle m’excite et elle le sait.

Animé d'une ardeur et d'une audace inhabituelle, je n’hésite plus à la tenir par les hanches et à caler mon sexe contre ses fesses. Sa respiration est maintenant plus forte mais elle semble ne plus vouloir bouger. Doucement je décide de l’entraîner contre la fenêtre pour tester sa réaction … et elle se laisse faire.

Aurai-je pu imaginer une situation si troublante ? Cette superbe femme semble définitivement s’offrir à moi avec indécence. Des envies folles, douces, tendres et sauvages m’envahissent. Envie d'elle, intensément. Envie de sentir le désir monter jusqu'à forcer l’impudeur et l'abandon le plus total. Je veux qu'elle n'obéisse qu'à son plaisir, qu’elle se laisse aller. J’ai la délicieuse sensation que tout est soudain permis et j'entreprends, petit à petit, de l'entraîner dans mes fantasmes.

ELLE :

Je comprends vite ce qu’il attend de moi et je pose mes mains contre la fenêtre, toujours au-dessus de moi. Les siennes sont de moins en moins hésitantes, il prend confiance en lui. Elles commencent à me caresser et je me sens envahie par une excitation que je ne contrôle plus.

La nuit est maintenant totalement tombée et déjà le corail commence à ralentir à l'approche de la petite gare de Bonneval. Doucement je me colle contre la vitre et j’écarte mes mains, paumes ouvertes. Va-t-il comprendre mon désir, mon invitation ?

A priori oui. Ses mains descendent le long de mes cuisses et viennent copieusement se poser sur mes fesses offertes. Je suis en train de perdre le peu de décence qu’il me restait et la chaleur du désir m'envahit un peu plus à chaque seconde. J’ai envie que ses mains ne s’arrêtent pas en si bon chemin, qu’elles repassent par devant pour glisser sous ma jupe et me caresser sans détour. Je veux que mes fesses apprécient de nouveau pleinement toute la qualité de son excitation.

Nous roulons maintenant au pas, le train entre en gare. Nous sommes dans un des wagons de queue et nous seront en bout du quai, mais je redoute son retour à la raison ou l'intervention impromptue d'un inconnu.

«Fermez les rideaux de la porte, je ne bougerais pas ».

J’ai tout juste chuchoté mais Il a entendu. Alors qu'il s'éloigne je regarde le reflet de mon visage. Ce que je peux lire dans mes yeux est particulièrement vicieux, indécent, et lorsque je les ferme je sais qu'ils ne m'apprendront plus rien, je m'offre à lui. Sereine, l’éclairage du quai caresse mes paupières tandis que je m’installe plus stablement contre la vitre, les jambes écartées.
Je me sens prête à céder à toutes ses demandes, sans restriction. Je me projette toutes les scènes possibles et l’incroyable impudeur de certaines. Je me sens prête à les vivre … rien qu'une fois.

LUI :

Je n’ai pas rêvé, ce murmure était bien réel. Je m’exécute et verrouille la porte, fébrile. Je m’imprègne de l’atmosphère torride et empreinte de vice qui règne maintenant dans le compartiment.

Je l’observe de dos, appuyée contre la vitre, et m’attarde sur son magnifique petit cul. Puis lentement je reviens me coller contrer elle. Je pose mes mains sur ses épaules, caresse sa nuque, et descend tout droit jusqu’à son cul cambré que je redessine avec précision.

Le train est maintenant arrêté. Je connais cette petite gare et il est peu probable que nous soyons dérangé. Mon excitation monte un peu plus, mes pensées sont désormais confuses. Je regarde ses mains contre la vitre, ses bras fins et écartés, la cambrure envoûtante de son dos, … sa docilité.

D’un souffle léger, je parcours son cou pendant que mes mains remontent à l’échancrure de son chemisier. Le premier bouton de son décolleté déjà bien ouvert ne résiste pas longtemps, ni le second. Elle ne bouge toujours pas. Devant son inertie j’ouvre délicatement un à un tous les boutons restants tandis que je l’embrasse de mes lèvres humides. Je la respire, recueille son parfum, son odeur. Son chemisier libéré et entrouvert, je sens qu’elle se cambre un peu plus. Peut-être ne veut-elle pas que ses seins soient en contact avec la vitre froide ? Peut-être souhaite-t-elle renforcer le contact de mon sexe entre ses fesses ? Un rapide coup d’œil sur le quai m’indique qu’il n’y a personne, tant mieux.

Je glisse mes doigts sous son chemisier et remonte mes mains pour écarter les pans de son étoffe ouverte. Mes doigts s’approchent de sa poitrine, l’effleurent mais ne la touchent pas. Je découvre dans le reflet de la vitre ses seins qui sortent effrontément de son chemisier et je comprends qu’elle n’ait pas besoin de soutien gorge. Ils sont trop beaux pour être enfermés dans un carcan totalement inutile.

Pour la première fois, mes mains glissent sous ses seins. Je perçois un léger soupir et j’entreprends la découverte de sa poitrine tendue et généreuse, glisse mes mains pour en prendre possession. Apprécie-t-elle mes caresses ? Je me laisse guider par ses soupirs et fais rouler sous mes doigts la pointe de ses seins.

Sa respiration est plus profonde. Elle ondule imperceptiblement du bassin tandis que mes baisers se font plus pressant et mes caresses plus amples. Vient-elle d’émettre un léger gémissement ? J’appuie mon sexe entre ses fesses et la vois se redresser contre la vitre. Que ressent-elle ?

Le train repart lentement. Et si quelqu’un nous surprenait ? Quelle vision aurait-il ? Est-ce raisonnable ? Je ne sais plus, je ne me reconnais plus. Pendant que je scrute le quai qui commence à défiler mes mains remontent sous sa jupe. Nous allons bientôt voir apparaître la gare et j’ai finalement l’impression que cette situation ajoute à mon excitation.

ELLE :

Les gestes de mon inconnu sont maintenant francs. Je n’ai perçu aucune inquiétude quant à mon comportement lorsqu’il a glissé ses doigts dans l’ouverture de mon décolleté et qu’il a commencé à dégrafer mon chemisier. Je suis maintenant seins nus, collée contre la vitre, et une légère secousse annonce le départ du train.

J’ouvre les yeux pour regarder le mouvement latéral du quai et savoir ce qu’il va nous dévoiler, oscille du bassin pour sentir son sexe contre mes fesses. Je le provoque ouvertement, me redresse contre la fenêtre. Je garde les mains écartées pour montrer que je m’offre entièrement à lui, et j’essaie de l’inciter à aller encore plus loin.

LUI :

Mes caresses se font plus aventureuses, plus précises. Je remonte mes mains sous sa jupe et découvre le porte-jarretelles entrevu plus tôt, je visite pleinement et longuement ses fesses et en apprécie la fermeté. Mes doigts glissent le long de ses cuisses pour frôler son sexe mais l’évite habilement. C’est trop tôt, le plaisir de la découverte est trop intense et unique pour me précipiter.

Fébrilement je détache sa jupe pour la laisser glisser le long de ses jambes. Elle me laisse faire, se défait de l’entrave à ses pieds d’un geste franc et sensuel, une jambe après l’autre. Son assurance m’ôte toute hésitation. Je la redresse pour lui retirer son chemisier et le jeter à l’autre bout du compartiment, l’observe ainsi offerte.

Guidés par un désir indescriptible, mes doigts effleurent pour la première fois son entre-cuisses. Je la sens bouger contre moi, à la recherche de ma main. Comment refuser un tel appel ? Mes doigts passent sous la dentelle et mon majeur glisse entre ses lèvres humides, découvre lentement son intimité, s’active. Son souffle se transforme en léger gémissement. Imagine-t-elle à quel point elle m’excite ? A quel point mon sexe étouffe dans un pantalon devenu trop étroit ?

Je continue mes caresses, me laisse guider par ses gémissements, et descends son string le long de ses cuisses pour avoir plus de la latitude dans mes mouvements. Elle ne s’écarte pas de la fenêtre, resserre les jambes pour m’aider dans mon entreprise alors que mon regard est attiré par deux hommes. Ils viennent d’entrer dans notre champ de vision, sur le quai. Ils nous verront forcément. Est-ce qu’elle les a vue ? Veut-elle se montrer à ces hommes avec une telle indécence, nue contre la vitre, obscénement cambrée pendant que je caresse ses fesses, son sexe ?

ELLE :

D’un geste net, il fait tomber mon dernier rempart et m’exhibe les cuisses entravées. Ses mains agissent en conquérantes, elles n’oublient aucune parcelle de mon intimité et mes ondulations doivent laisser peu de place à l’ambiguïté : j’aime ça.

A l’approche de la gare je remarque deux jeunes hommes. Ils sont tournés vers l’avant du train mais ils ne tarderont pas à nous voir. Toujours collée contre la vitre j’attends l’inévitable. J’ai une délicieuse envie de m’afficher avec vice, de sentir en moi les doigts de mon amant pendant que je croiserais le regard de ces deux inconnus. Je veux leur laisser un souvenir, une histoire à raconter, un fantasme pour qu’ils se masturbent en pensant à moi et à ce train. Je veux leur offrir un spectacle d’une poignée de secondes dont ils se souviendront longtemps.

Le premier à me voir interpelle son ami et nos regards se croisent pendant que mon amant, perspicace, glisse deux doigts en moi. Il ne fait aucun doute que le plaisir qu’il me procure peut se lire sur mon visage. Bouches bées, mes inconnus me regarde et d’une main je dégage mes cheveux pour que mon visage soit gravé à jamais dans leurs mémoires, alors que de l’autre je commence à sucer mon majeur en les fixant droit dans les yeux. Je me mets à la place de ces hommes et j’imagine la vision extraordinairement érotique que je leur offre. Malheureusement le quai défile. Je m’aperçois à regret que je vais manquer de temps pour me montrer aussi vicieuse que je le souhaiterais.

Je change d’angle pour mieux exhiber les doigts qui s’activent en moi, jette un dernier regard provocateur, mais ils n’auront pas le temps d’en voir plus, je suis un peu déçue. Ils disparaissent au profit d’un quai vide et d’une gare toute aussi déserte. Seul le chef de gare nous remarque au dernier moment. Il a juste le temps de comprendre ce qu’il vient de voir … ou de rater.

La gare passée, nous longeons de nouveau quelques habitations et je sens qu’il est temps de penser plus activement à mon amant de passage. Je me redresse pour me coller contre son torse et glisse mes mains derrière mon dos pour aller à la rencontre de son sexe. Il nous reste un peu de temps avant l’arrivée, quelques instants de plaisir à donner et à recevoir.

LUI :

Ils nous ont vu. Je décèle dans leur regard ce mélange de surprise, de curiosité, et d’excitation. Un instant, un sentiment de gêne pudique m’envahit, puis je la regarde. Cette situation l’excite. Pendant que mes doigts continuent de pénétrer son sexe, elle joue avec leurs fantasmes, suce son majeur avec sa langue coquine, leur présente son sexe que je doigte avec malice. Quelle impudeur ! Quelle obscénité ! Quelle Vicieuse !

Je la caresse avec gourmandise et envie, l’embrasse dans le creux de sa nuque. Je me délecte à détailler ses seins fermes et imposants, les imagine dans ma bouche tandis que sa main droite caresse maintenant ma queue dans ses moindres détails.

Mes sens et mon esprit ne sont plus guidés que par mon désir de la posséder. J’essaie de rester lucide, de laisser monter doucement l’excitation, et je dois lutter pour ne pas me jeter sur elle et la prendre aussitôt. J’ai envie de sentir sa bouche, de redécouvrir ses yeux. Je la retourne pour plonger dans son regard profond et intense, et j’y découvre le désir, l’offrande, le vice.

Est-elle dans le même état d’excitation que moi ? Qu’aimerait-elle ? Elle me rend fou et je veux qu’elle se libère totalement. J’essaie de découvrir ses désirs les plus érotiques, ses pensées les plus torrides. Je veux qu’elle soit submergée par son plaisir et ses orgasmes.

ELLE :

Je sens son sexe frémir sous mes doigts, l’imagine et le désire en moi. Je veux sentir sa peau contre la mienne et son sexe chaud contre mon ventre. Lorsqu’il me prend par les hanches pour me retourner je le dévore des yeux, bouche entrouverte et offerte. Je mouille mes lèvres avec un regard vicieux et sans qu’il me le demande ou m’y incite, mes mains s’activent pour déboutonner son pantalon.

Je le regarde dans les yeux pendant que les boutons cèdent un à un. Je baisse ensuite son pantalon, son caleçon. Je ne touche pas à son sexe, ne le regarde pas. Je me contente de retirer le string qui m’entrave et le jette à l’entrée du compartiment. Je veux qu’il sache que je n’ai pas peur d’être surprise ainsi, entièrement nue et offerte.

J’ai envie qu’il me guide vers son sexe et qu’il prenne les initiatives, mais à défaut, je m’agenouille seule devant son sexe, sans quitter son regard. La tête relevée je glisse mon visage sous sa magnifique queue et je sors ma langue pour lécher sa hampe. Je veux lui montrer qu’il peut envisager avec moi tous ses fantasmes.

Et ça marche. Enfin il prend ma tête dans ses mains pour me guider. Je glisse son sexe dans ma bouche et referme l’étreinte de mes lèvres, le sens tressaillir contre mon palais et me régale de la sensation que me procure le mouvement de va et vient qu’il commande de ses mains.

Je lève la tête, et croise mes mains derrière mon dos sans dire un mot, avec un sourire…

LUI :

J’observe ses yeux provocateurs et la manière dont elle joue avec mon désir. Quel bonheur de sentir mon sexe entre ses mains expertes. Je la contemple en train de lécher ma queue. Sa langue est chaude, douce.

A cet instant elle sait que je suis à elle et je sais qu’elle en joue. Je la laisse jouer. Je me laisse aller au plaisir qu’elle me procure, ferme les yeux pour focaliser mes sens sur ses délicieuses caresses. Elle me suce à merveille. Mon sexe enserré par ses lèvres, je sens sa langue jouer avec mon gland et je sais que je ne tiendrais pas longtemps. J’ouvre les yeux mais elle ne me regarde plus. Elle est concentrée sur mon sexe et je dévore des yeux les aller et venu de ma queue dans sa bouche. Elle adore ça, ça se voit.

Mon sexe se tend un peu plus entre ses lèvres. J’imagine qu’elle le sent et qu’elle craint que je jouisse trop tôt. Elle doit savoir qu’aucun homme ne peut résister à sa manière experte et gourmande de le sucer. C’est en tous cas ce que semble indiquer son sourire lorsqu’elle se recule pour mieux observer ma détresse et mon abandon, manifestement satisfaite.

Les mains croisées dans son dos elle affiche effrontément ses seins dressés dans ma direction. Je caresse ses cheveux, ses joues, et glisse sur ses lèvres un doigt qu’elle s’empresse de lécher impudiquement. Mon désir n’a plus de limite, je veux la baiser comme jamais personne ne l’a fait avant.

Je l’invite à se relever lentement, et glisse mon sexe entre ses seins pendant qu’elle se redresse. Elle comprend, prend mes fesses dans ses mains et se plaque contre mon corps.

ELLE :

A sa demande je me relève légèrement et commence à masturber son sexe entre mes seins. Mes cuisses me brûlent et la position est délicate. Je continue un peu mon va et vient mais je dois rapidement me résigner à changer de position, m’installe sur le bord de la banquette.

Je l’invite à revenir entre mes seins et mes mains referment leurs étreintes sur son sexe. J’entame de légers mouvements du torse pour reprendre ma masturbation, cette fois bien décidée à ne m’arrêter qu’une fois qu’il aura joui. Je n’attends pas longtemps, les précédents préliminaires ont eu raison de sa résistance. Après les premiers spasmes annonciateurs, je sens son sperme chaud et abondant jaillir. Ma poitrine reçoit sa semence et je le regarde dans les yeux, fière de moi. Il me fixe et je ne résiste pas à l’envie d’en rajouter, à l’envie de me montrer « salope ». J’écarte largement les jambes pour ne plus rien lui cacher de mon intimité et recueille un peu de son sperme pour le porter à ma bouche, le lécher, le déglutir.

Je souris en le voyant abasourdi, prends ses mains pour les poser sur ma poitrine savamment arrosée, et relève la tête, bouche ouverte, sulfureuse …

LUI :

J’observe mon sexe aller et venir entre ses siens, aller jusqu'à sa bouche ouverte. Elle m’excite trop, je vais craquer. Mon regard lui indique que je n’en peux plus et son sourire m’indique qu’elle le sait, qu’elle m’attend. Tout mon corps se tend et je suis envahie par un orgasme puissant qui arrose copieusement sa poitrine offerte.

Et toujours ce regard… cette position obscène pendant qu’elle porte ses doigts à sa bouche pour goûter ma semence.

C’est maintenant à moi de la fixer et à elle se s’abandonner. Je m’agenouille entre ses cuisses, approche ma bouche de son sexe, et découvre les lèvres ouvertes de ma petite vicieuse. Je l’observe entre ses seins recouverts de mon sperme. Ma langue joue avec son clitoris et son regard se fait moins aguicheur. Ses yeux se ferment, son souffle devient court.

J’étale mon sperme encore chaud sur ses seins pendant que je la lèche avec passion et gourmandise. Je veux qu’elle jouisse dans ma bouche, me laisse guider par ses soupirs. Son bassin imprime de lents mouvements à la recherche de ma langue tandis que mes mains écartent ses cuisses pour que mes inquisitions soient plus profondes.

Je glisse une main pour passer avec vice de son sexe à son anus et je sens son orgasme monter, son clitoris se gonfler. J’entends enfin sa voix claire exprimer son plaisir. Ma petite vicieuse est aussi une jouisseuse…

Lentement je me redresse et m’installe sur la banquette d’en face pour l’observer. Elle reste devant moi avec les cuisses ouvertes, le sexe luisant, et les seins maculés de mon sperme. Elle garde son regard provoquant.

ELLE :

Il me surprend. Alors que je l’allume pour l’inciter à ne penser qu’à son plaisir je le vois penser au mien, s’installer entre mes cuisses ouvertes pour me gâter de sa langue. Il est habile et je me laisse emporter, je ferme les yeux pour mieux apprécier les sensations que sa langue me procure. J’oublie tout pour ne penser qu’à mon plaisir, ne cherche plus à contrôler mes gestes. Je laisse mon corps et mes mains s’exprimer selon l’envie du moment. Mon bassin se soulève pour coller mes lèvres ouvertes contre cette langue diabolique et mes mains finissent d’étaler son sperme sur mes seins.

La fine pellicule de sperme entre mes mains et mes seins rend la caresse divine et je regrette de ne pas pouvoir l’étendre à volonté. Je me laisse envahir par le plaisir, me lance à la rencontre du majeur qui vient se frayer un chemin entre mes fesses. Je sens l’orgasme proche et j’ai envie de le sentir au fond de moi.

Finalement je jouis sous sa langue, me détend. Son sexe a retrouvé toute sa vigueur mais nous approchons de notre destination et mon envie a été comblée. Je me redresse pour déposer un léger baisé sur sa bouche et recherche ma culotte. Je ne la remets pas. Je me contente de l’utiliser pour m’essuyer devant lui. Puis je retrouve ma jupe et la remet en fermant volontairement un minimum de bouton. Je ne peux m’empêcher de continuer de l’allumer un peu, remets mon chemisier en le laissant lui aussi particulièrement ouvert sur mes seins.

Enfin je prend mon sac et me rapproche dans cette tenue provocante pour déposer dans ses mains ma petite culotte souillée en guise de souvenir. Je l’embrasse une dernière fois, et remonte jusqu’à son oreille : « merci pour ce magnifique voyage. Mon amant va être ravi. Il rêve de m’offrir à plusieurs hommes et grâce à vous ce soir, je vais accepter ….».

Bien sur c’est entièrement faux, mais je ne déteste pas l’idée de le voir fantasmer jusqu’à la fin de ses jours …

La minute suivante j’étais déjà loin …

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